Vous les êtres incarnés estimez tout connaitre de la vie et de ses possibilités. Sans cesse vous doutez, de vous et de nous. Le sentiment d’injustice prime sur votre acceptation de faire partie d’un grand tout. Ramenant vos épreuves et votre douleur à un sentiment d’être abandonné du divin. De ne pas avoir mérité. Il vous faut écouter votre douleur, apprendre d’elle. Comprendre pour votre bien, personne ne souhaite votre malheur. Personne n’a écrit la totalité de votre destination à votre place. Ne sous estimez pas votre rôle et votre pouvoir de guérison. Vous êtes capable de tout, du pire et du meilleur. Alors choisissez le meilleur. Choisissez de vous aimer intensément, profondément sans querelle, ni doute, ni auto-sabotage. Cessez de vous mépriser, de jalouser l’autre pour ce qu’il a ou ce qu’il n’a pas. Vous vous débattez avec des pensées issues du passé, de douleurs anciennes non surmontées. Pour guérir il vous faudra accepter de regarder en vous, dans votre part d’ombre, au cœur de vos souffrances ce qu’il y a à guérir et comprendre. Cessez de vouloir tel un enfant gâté ou tout vous serait dû. Cessez de geindre et de vous plaindre comme si votre blessure était la pire injustice de tous les temps. Apprenez de vos erreurs comme de vos maladies. Apprenez à prendre soin de vous comme de votre progéniture comme de vos ennemis, car tout est lié. Tant que vous douterez vous serez limité dans vos perception et dans l’accès à la guérison de vos blessures.