Mes enfants de quoi avez-vous peur ? Du temps qui passe ? De l’économie qui s’effondre ? De la crise écologique ? De ne pas savoir ? De ne pas pouvoir ? De ne pas savoir dire, exprimer ? De retenir ? De ne pas oser faire, dire, pardonner ? De passer à côté de votre vie ? D’espérer sans espoir, d’attendre sans recevoir. D’imaginer sans construire. De rêver des jours sans lendemain ou sans fin ? D’être enfermés dans une torpeur tiède. Ni suffisamment chaude pour vous ébouillanter, ni suffisamment glacée pour vous stimuler. Tiède.Regardez cette tiédeur. Cette incertitude, cet abandon de vous. Que vient il vous raconter ? qu’y voyez-vous. Le malheur ? la complaisance ? Ou l’opportunité de construire un nouveau socle basé sur vos propres valeurs, détaché des conditionnements qui vous limitent et vous emprisonnent. Qui vous a dit que vous n’étiez pas suffisamment fort ou puissant pour mener votre barque, prendre votre vie en main ? qui vous limite ? qui vous impose de rester lorsque vous voulez partir ? qui vous oblige à poursuivre ce que vous n’aimez plus ? A rester là vous n’êtes plus à votre place ? Qui vous donne raison ou tort ? qui est le maitre à bord ?
Vous. La réponse est vous.
Vous décidez d’agir ou choisissez le statut quo. Bien sur tous les malheurs ne sont pas le fruit que de la malchance. Ils sont des opportunités d’apprendre. Ce que votre esprit appréhende, redoute, dénigre, c’est votre part de responsabilité dans ce qui vous arrive. Point de complaisance dans cette affirmation dérangeante pour certains, juste la vérité, essentielle, pure, vibrante. La fluidité est de mise dans vos vies lorsque vous êtes alignés avec votre véritable identité. La vie se charge de vous le rappeler. Vous avez votre libre arbitre en main. Choisissez de vous respecter et d’affirmer votre véritable identité. Ainsi les épreuves que vous parcourez trouveront résonnance et sens. Elles n’en seront pas moins dures, mais vous grandirez en conscience, sans complaisance. Ne doutez pas de notre amour infini, quelles que soient les épreuves que vous traversez. Seule l’énergie du cœur saura vous guérir.
Archange Métatron