Enfants de l’univers voyez comme l’énergie change en votre faveur, comme tout s’éclaircit, devient limpide comme de l’eau de roche. Vous pouvez vous laisser porter car vous savez qu’il ne sert à rien de combattre ce qui n’a pas lieu d’être combattu. Seule demeure la lumière pour guider vos pas là où ils doivent aller, uniquement dans la direction de l’amour et du pardon. Pardon pour vous même, car la faiblesse qui vous obsède n’en est pas une, elle est l’illusion de votre regard qui juge et se leurre. Cessez de vous regarder en étant obnubilés par l’image que vous renvoyez aux autres, cessez de programmer des stratégies pour sortir grandi et fier d’une mésaventure. Les mésaventures sont là justement pour vous faite comprendre la vérité sur votre être. Vous êtes tellement obnubilés par votre nombril que vous avez tout oublié. Vous commencez à comprendre que là n’est pas le chemin. Dans l’asservissement de l’ego ou la brutalité de l’échec qui inflige la colère et la déception et non le pardon. L’amour lui ne déçoit jamais quand il est désintéressé, que l’on n’attend rien en retour, simplement à être en paix avec soi-même heureux d’avoir donné, sans efforts ni obligation. L’amour rend à vos yeux la clarté pour naviguer dans les échecs de l’ego et la tristesse de la séparation. L’amour de juge pas il accueille dans le sacré du lien qui vous unit tous. Un jour vous comprendrez qu’il n’y a rien à comprendre ou à trouver. Il y a juste à être soi. Mais ce soi est déjà une quête en elle-même, recouvert par des couches de protections, des substrats de doutes et de blessures, noyant son chagrin dans tant de stratagèmes de protection qu’il en a oublié tout, croyant seulement être dans le vrai. Qui dupe qui ? Qui préfère naviguer dans les faux semblants pour rester rassuré ? Qui préfère chercher la lumière là où elle se trouve vraiment : dans le cœur qui lui sait et attend patiemment.
Ainsi ce que vous croyez être la vérité est un voile qui vous en a éloigné par peur de ce que vous pourriez trouver. Pourtant il n’y a nul dragon qui garde la porte d’entrée de votre destinée, seulement les verrous que vous y avez placés. Nous vous invitons à revenir dans l’espace sacré du cœur et du lien. Ne vous enfermez pas, ne redoutez pas le pire, ne craignez pas ce que vous ignorez, car vous avez tout à y gagner.
Nous vous aimons infiniment.